SUR LYON, LA HARPE À UNE ADRESSE : LES MUSIJOIES, ÉCOLE ENTIÈREMENT  DÉDIÉE À LA HARPE

Le manque d’iconographie concernant les instruments hébraïques ne permet que des suppositions.

Tout ce que l’on peut supposer, c’est que les harpes hébraïques dérivent des harpes égyptiennes.

Un curieux passage de la Genèse nomme deux frères, Jubal et Tubal - Caïn, ancêtres des musiciens joueurs de harpe et de pipeau, et des ouvriers travaillant le bronze et le fer.

Aussi pense-t-on que certaines familles nomades étaient spécialisées dans les travaux du métal et l’exécution de la
musique, un peu comme certains gitans de nos jours.

Durant leur exil, les hébreux n’utilisèrent pas la harpe, c’est seulement après l’Exode qu’elle est mentionnée pour la
première fois : Le " Kinnor ".

Il prend vraiment relief de harpe, car il en épouse jusqu’à la forme actuelle : table d’harmonie, console et colonne.

Un verset de Samuel le cite : « Ainsi, toutes les fois que l’esprit venu de Dieu s’emparait de Saül, David prenait le Kinnor
et en jouait avec les doigts, et Saül en était soulagé et le mauvais esprit le quittait ».

Jéhova promet : « J étendrai la main sur celui qui jouera de la harpe, son art lui sera favorable et ma bénédiction
rayonnera sur toute sa maison. »

Prophéties livre d’Isaîe 38 -20 Maladie et guérison d Ezéchias.